Bonjour;
Mise à l’eau de kayaks, sur la Sioule et l’Allier et ailleurs ,un car amène des touristes qui écoute une présentation de 5 mn sans attention particulière, par un gars qui fait cela, avec une motivation qui en dit long!
J’ai écouté sur l’Allier « 40 euros les 3 heures » par 2 kayakistes , je sais pas si c’est pas pour 1ou 2…Nous allons en profiter avec des dérives au propres comme au figuré …Qu’importe…Les activités de rivières sont pour tous, bien sur…Ce qui me gène demeure le manque d’encadrement … un pro en tête et un en sortie serait le top .
Il faut rentabiliser, c’était pareil avant le COVID !
Je penses qu’il serait intéressant d’inviter des guides kayak, randonnées (pour le canyoning) , quad , pêche, VTT.. etc. …afin que tout ces utilisateurs de la rivière prennent conscience qu’ils sont des acteurs et devraient logiquement œuvrer pour celle ci, leur patrimoine à transmettre de façon optimale en tenant compte des erreurs du passé.
Quelques pistes…toute l’année mobilisation , dégagement des embâcles , aménagement de parcours kayaks sur des secteurs précis, compatibles avec le biotope, notion de débit limite en terme de pérennisation de milieu…Liste non exhaustive…
J’estime qu’il appartient aux professionnels des diverses activités de terrain a développer et a se rencontrer. Effectivement un besoin accru de communication exacerbé par la crise du Covid 19 devrait logiquement initié via les réseaux sociaux une nouvelle approche en terme d’initiatives, comme je l’évoquais ci dessus…
Bien sur ces actions s’inscrivent logiquement , une fois amorcée par les Fédérations de tous ces sports en terme de légitimité .
Cordialement .
Philippe Chardonnet 23/07/20
Rivieres d' Auvergne à la Mouche 
Bonjour,
Mettre au tour d’une table tous les pratiquants de sport de l’eau nous l’avons déjà fait lors de la réalisation d’un arrêté préfectoral régissant le canyoning sur la haute Dourbie, nous avons partagé , échangé sur les impacts que génèrent les différentes activités, il en est sorti un compromis en nombre de personnes, nombre de groupes, horaires, jours …..ETC
Le constat, rien n’est respecté par ces entreprises, même lors du derniers arrêté sècheresse ils continuaient à pratiqué leur activité ….seule une intervention de la gendarmerie les à fait arrêter ? ils ne respectent même pas leur signature .
Les pêcheurs payent une carte pour pratiquer leur loisir, ces entreprises elles engrangent sans laisser un centimes sur les communes concernées? de plus leur impact sur le milieu n’est pas analysé, mais par expérience je vous demande de réfléchir 5 groupes de 8 personnes x 7 =280 Personnes pratiquent par semaine (Si l’arrêté est respecté?) chiffre d’affaire 40€x208=11200€ Je parle là de l’activité canyoning.
Leur lobby est bien plus fort que celui des pêcheurs.
En conclusion effectivement la rivière n’est pas la propriété des pêcheurs, mais c’est car même eux qui par l’intermédiaire des aappma ont en charge la protection et la gestion du milieu aquatique chercher l’erreur ?
alors que la pêche ne fait pas partie des sports natures ? alors arrêtons d’êtres naifs, en agissant avec les aappma , des élus, des institutions ……………..
DG
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Que proposez vous ? Cordialement P.C.
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